À travers des enquêtes artistiques sur la manière dont les formations sociales à petite échelle – mises en réseau et différemment articulées – peuvent offrir des modèles et des systèmes de valeur alternatifs, les propositions présentées portent une attention particulière au micro-processus et au rythme social.
Des réseaux d’artistes et d’autres producteurs développent des espaces génératifs et détournent l’uniformisation du système planétaire, expérimentant d’autres futurs au-delà de l’individualisme néolibéral. « Cosmopolis #2 » relie ces questions d’échelle juste et de divergence technologique à des explorations artistiques de l’enchevêtrement de l’humain et du non-humain.