Les filles ont 14 fois plus de risque de mourir que les garçons en période de conflits. Face aux dangers liés aux crises humanitaires, les adolescentes restent les plus vulnérables : mariages forcés, kidnapping, violences et abus sexuels, esclavage, déscolarisation massive…
Pour la première fois, les adolescentes victimes de conflits ont été entendues dans le cadre d’une série d’enquêtes menée par l’ONG Plan International dans 3 régions particulièrement instables : le bassin du lac Tchad, les camps de réfugiés rohingya au Bangladesh et le Soudan du Sud.
Elles y témoignent de l’enfer subi au quotidien, mais aussi de leurs attentes et recommandations en matière d’aide humanitaire. Un appel inédit à faire réagir la communauté internationale sur le sort des filles et des femmes.
Image © SIA KAMBOU / AFP
Communiqué de presse