Dans une étude publiée ce jour dans Drug Discovery Today, des équipes françaises de chercheurs et de cliniciens issus de l’Inserm, de l’AP-HP, de l’Université de Lille, de l’Université de Paris, de l’Université Paris-Est Créteil et de la Fondation FondaMental ont émis l’hypothèse que certains médicaments largement prescrits en psychiatrie pouvaient avoir un rôle « protecteur » contre l’infection à la COVID-19.
Cette analyse a abouti à la sélection de plusieurs médicaments largement prescrits, avec une attention particulière pour les molécules connues pour avoir des effets secondaires négligeables. Ces principes actifs pourraient, seuls ou en association, être repositionnés dans la prévention de l’infection à SARS Cov2.
Communiqué de presse